Huit Femmes

Où ?
Cinémathèque suisse
Quand
Du 13.12.2023 au 23.12.2023
Tarif
A partir de
10 CHF
Dans les années 1950, un homme est retrouvé assassiné dans sa demeure à la veille de Noël. Les huit femmes présentes sur les lieux au moment des faits deviennent suspectes... Peu importe l’intrigue. Ce qui compte, c’est la manière dont François Ozon brosse par le biais de l’artifice les différents visages d’une femme incarnée ici par les plus grands noms du cinéma français. «Et si le reproche de misogynie est débile et tombe de lui-même tant toutes ces dames sont bien servies, avec une inventivité constante, une angoisse sourde s’échappe du film, et l’enfermement obsessif en est bien le sujet. A la réclusion familiale s’ajoutent trop de douleurs inguérissables et de renoncements constitutifs pour que la figure imposée ne contienne pas sa part de profond malaise» (Frédéric Bonnaud, Les Inrockuptibles, 2002).

Informations pratiques

Adresse

Cinémathèque suisse
Casino de Montbenon
1002 Lausanne

Comment s'y rendre

Horaires

Le 13.12.2023
Ouvert
Fermé
Mercredi
18:30 - 20:20
Le 23.12.2023
Ouvert
Fermé
Samedi
18:30 - 20:20

Montbenon - prix plein

10 CHF

Montbenon - prix réduit

8 CHF

Capitole - prix plein

15 CHF

Capitole - prix réduit

12 CHF

Cinémathèque suisse:
Casino de Montbenon
Allée Ernest Ansermet 3

1003 Lausanne
(Salles Cinématographe et Paderewski)
Métro m1 > arrêt Vigie
Bus n° 3, 6, 21 > arrêt Cecil
Bus n° 12, 13 > arrêt Montbenon

Cinéma Capitole
Avenue du Théâtre 6
1005 Lausanne

Métro m
2 > arrêt Lausanne Flon
Bus > arrêt St-François ou Georgette

En savoir plus

De François Ozon. Avec Catherine Deneuve, Isabelle Huppert, Emmanuelle Béart, Fanny Ardant.Dans les années 1950, un homme est retrouvé assassiné dans sa demeure à la veille de Noël. Les huit femmes présentes sur les lieux au moment des faits deviennent suspectes... Peu importe l’intrigue. Ce qui compte, c’est la manière dont François Ozon brosse par le biais de l’artifice les différents visages d’une femme incarnée ici par les plus grands noms du cinéma français. «Et si le reproche de misogynie est débile et tombe de lui-même tant toutes ces dames sont bien servies, avec une inventivité constante, une angoisse sourde s’échappe du film, et l’enfermement obsessif en est bien le sujet. A la réclusion familiale s’ajoutent trop de douleurs inguérissables et de renoncements constitutifs pour que la figure imposée ne contienne pas sa part de profond malaise» (Frédéric Bonnaud, Les Inrockuptibles, 2002).France · 2002 · 110' - format: DC@Cinématographe ( CIN ) - prix indicatif: 10.-

Événements à venir